FREEDOM FIGHTERS MEMORIAL- IAIN MACDONALD'S REFLECTION
Written by Iain MacDonald, Bangladesh, UNFPA
Memorial for freedom fighters in Dhaka
Au monument pour les combattants de liberté, j’ai appris le drapeau du Bangladesh.
À Shaheed Minar, j’ai entendu une histoire qui m’était familière.
Que connaissez-vous de ce pays, ses origines ou les réfugiés,
Encombrés dans la densité.
Sur le divan pendant Eid, dans une maison du coin du village qui frôle la verdure,
J’aperçois de l’art qui décore le mur bleu près d’un seuil de porte :
Le paysage d’une ferme et le soleil rouge qui brûle.
Le soleil rouge qui tache le mur comme une goutte de sang sous un microscope.
Si le mur était vert comme une olive, j’aurai cru le drapeau du pays.
Le pays n’existe pas.
1947 : Bengale oriental et le Pakistan divisés de l’Inde.
En 1952, la nation combat l’oppression linguistique.
Shaheed Minar, où le Pakistan voulu forcer l’urdu ; pourtant la réponse retentit en bengla.
17 ans plus tard, 1969, les conflits persistent, le point de rupture à l’horizon.
Règlement 17, je l’ai entendu, dans la présence de ce monument.
L’étouffement de la langue, il n’est jamais silencieux.
1971, la nation connaît l’indépendance.
Une couche verte foncée ; le tableau naturel que l’on songe.
Le cercle rouge, le sang qui coule, roule de la chair et tombe sur le sol.
Les combattants luttent pour leur territoire qui est vert,
Celui-ci, lequel leur sang colore avec une gouttelette rouge.
Mouvementée son histoire, l’illustration est gravée sur l’emblème,
Naissant le drapeau.
Alhamdulillah.
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